2010

Pourquoi jamais, l’OSBL

Dans le but de favoriser la création dans une perspective interdisciplinaire, collective et engagée socialement, et pour rendre possible la mise sur pied de projets nécessitant une structure légale, Pourquoi jamais fonde un organisme sans but lucratif. (Terrebonne, 11 août 2010)

Principes fondateurs de l’organisme :

Démocratie participative
En tenant compte des énergies et de la volonté de chacun-e, Pourquoi jamais se dote de moyens afin que l’ensemble des membres puisse participer aux différentes instances de l’organisme.

Collectivité
Pourquoi jamais crée dans une perspective interdisciplinaire et collective. Cette démarche s’applique également dans ses relations avec les groupes et individus qui l’entourent et qui œuvrent dans le respect de ses valeurs.

Justice sociale
Chacun des êtres humains est égal quels que soient son origine, son sexe, son orientation sexuelle, sa couleur, son handicap, sa religion, son âge ou sa langue. Pourquoi jamais se dote de moyens afin d’assurer le geste égalitaire et la représentativité au sein de l’organisme.

Responsabilité citoyenne
Dans ses choix de production et de consommation, Pourquoi jamais privilégie un comportement responsable. Par exemple, il cherche à acheter des produits locaux, fabriqués dans le respect de la personne et de l’environnement, et s’efforce de minimiser son empreinte écologique, en recyclant et en réutilisant la matière produite. 

Volontariat à la CDHAL

La « Caravane solidaire 2010 » s’est terminée à Montréal par un colloque interuniversitaire intitulé « Plan Nord, Plans Sud : mêmes menaces – Mines et barrages hydroélectriques dans les Amériques ». Le colloque soulevait les conflits liés au développement et les luttes pour l’autodétermination des peuples dans les Amériques. Cet événement était organisé par le Comité des droits humains en Amérique latine (CDHAL)en collaboration avec la Coalition sur les impacts socio-environnementaux des transnationales en Amérique latine, Développement et paix, la Chaire de recherche du Canada en éducation relative en environnement, l’Institut d’études internationales de Montréal (IEIM) de l’UQAM et le Réseau québécois d’échange sur les questions autochtones DIALOG.

Pourquoi jamais… faute de temps pour se lancer dans la création d’une bannière tangible et délirante… sereine et posée… a offert son aide bénévole durant la fin de semaine (27 mars 2010 – 28 mars 2010).

http://cdhal.org/caravane-2010

Une fin de semaine d’apprentissage et de rencontres mémorables.

Atelier docus politiques

Atelier de formation du 7 février 2010 — échanges et de discussions autour du visionnement de deux documentaires politiques

La fabrication du consensus (Manufacturing Consent: Noam Chomsky and the media), Mark Achbar et Peter Wintonick, 167 min, 1992, http://video.google.ca/videoplay?docid=-8506025126009141326&ei=LGh4S7ilD5OErQLa4ujnBw&q=fabrication+du+consentement+chomsky&hl=fr&view=3&client=firefox-a#

Le documentaire canadien sur l’intellectuel américain Noam Chomsky repose sur une « narration «composite» » faite d’interviews, d’extraits de conférences, de documents d’archives, et d’interventions télévisées. […] Au box-office canadien, c’est le documentaire qui a eu le succès le plus important de toute l’histoire. (Wikipédia)

La spirale, Armand Mattelard, Valérie Mayoux et Jacqueline Meppiel, 138 min, 1976, http://video.google.com/videoplay?docid=-4233366542728248429#

Ce film montre, tout juste avant Pinochet, l’arrivée au pouvoir de Salvador Allende et l’écrasement de la tentative d’instauration du socialisme au Chili.Film disponible en version originale [français] seulement à la bibliothèque l’UQÀM, prendre VHS 2383 qui ne griche pas.)

Quoi de plus ingrat visuellement, a priori, qu’une analyse économique ? Et pourtant, se montrant à la hauteur des déterminations historiques, portant à incandescence ou pulvérisant les puissances rationnelles de l’argumentation et de la démonstration, certains cinéastes ont inventé des formes visuelles cinégéniques et parfois sublimes d’essai sur l’économie. (La cinémathèque française)